Un “management convivial”, c’est comme ça qu’il se justifie après avoir été accusé de harcèlement sexuel.

Cinq salariées ont accusé l’ancien gérant du magasin Relay de la gare stéphanoise de Châteaucreux pour des faits de harcèlement qui ont eu lieu il y a plus de cinq ans.
Le soixantenaire qualifie son comportement de “management convivial”.
Il a été jugé mardi 2 mars devant le tribunal correctionnel de Saint-Étienne pour des faits “harcèlement sexuel” qui ont eu lieu il y a plus de 5 ans lorsqu’il était gérant du Relay.
Plusieurs faits douteux ont été évoqué dans le tribunal durant le procès comme des préservatifs dans la caisse pour la Saint-Valentin, des réflexions tel que “Vous avez pris du cul cette semaine” ou encore des regards appuyés et des mains baladeuses. Après avoir longtemps nié, le prévenu a reconnu que “ses propos étaient inappropriés”.
Me Laetitia Peyrard, partie civile pour trois des salariées dénonce des blagues plus que douteuses et affirme que le conseil des prud’hommes a reconnu le harcèlement sexuel.
André Merle, procureur demande douze mois avec sursis et une amande de 5 000 euros.
La décision a été mise en délibéré au mois d’avril par le tribunal.
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